Qui suis-je?
Je m’appelle David Sdika, je suis basé à Bruxelles, où je travaille en tant que photographe professionnel. Je suis spécialisé en portraits d’enfants et de famille à domicile mais également en portrait corporate en studio.
Né en France, j’ai grandi à Bruxelles où j’ai suivi une formation pour devenir vétérinaire. À l’époque déjà, la photo était ma passion. Arrivé à Paris en 1999, j’ai assisté de grands photographes au sein de l’agence Magnum Photos, deux ans durant. Par la suite, je suis devenu photographe freelance avant de m’installer à Bruxelles en 2007.
La photographie est le moyen que j’ai trouvé pour assouvir ma curiosité et mon intérêt pour les gens. Documenter leurs vies en mettant en avant leur meilleur visage, beaux sans artifice, au naturel.
C’est devenu ma mission dans un monde où l’image est omniprésente.
Le procédé de photographie “argentique” tire son nom des sels d’argent utilisés pour créer la surface photosensible déposée sur la pellicule. Ces grains d’argent vont former l’image une fois le film exposé à la lumière.
Concrètement, la photo argentique, c’est celle des pionniers de la photographie, au XIXe siècle, mais également celle des grands portraitistes ou reporters tout au long du XXe siècle. À présent, la photographie numérique a très largement remplacé les procédés utilisés jusqu’alors. Malgré cela, certains photographes utilisent toujours des pellicules et des appareils photo argentiques. Je suis de ceux-là.
Est-ce qu’une pomme est meilleure qu’une poire? « C’est juste différent », conclura l’amateur de fruits.
La photographie numérique est une technologie révolutionnaire qui a permis une démocratisation de l’image. Plus besoin d’acheter ni développer des films couteux, pas de limite dans le nombre de photos que l’on peut prendre, une qualité d’image extraordinaire, un partage facile sur internet et les réseaux sociaux…
À mes yeux, photographier en argentique, ce n’est pas se tourner vers le passé. C’est un parti pris, une philosophie. Le numérique est rapide, j’aime la lenteur et la contemplation. Le numérique est très net, j’aime ce qui est organique, propre, mais pas trop. Le numérique est impalpable et dans le cloud, j’aime ce que l’on peut toucher, et parfois même sentir.
Ainsi, j’ai fait un choix. Je photographie en argentique avec mes appareils des années 1950, je développe les films puis les scanne pour fournir à mes clients des fichiers numériques haute définition ainsi que de magnifiques tirages papier s’ils le souhaitent.
J’utilise aussi beaucoup la photo numérique, surtout pour les travaux réalisés en entreprise comme les portraits professionnels ou les reportages d’événements.
Une fois développés, les films sont scannés en haute définition. Chaque image est soignée en termes de colorimétrie, contraste, exposition, etc. En revanche, je ne pratique pas de retouche comme celles que l’on peut voir sur les couvertures de magazines ! Juste de subtiles repiques pour gommer ici une mouche posée sur le mur, là une petite tache sur un pull.
Les souhaits de mes clients sont variés, les budgets fluctuent donc avec le type de prestations demandées. Dans un premier temps, je dois comprendre vos attentes avant de vous faire une proposition sur base du résultat voulu.
À titre informatif, sachez qu’il faut compter 180 euros (HT) pour une séance de portrait headshot réalisée en studio, 470 euros (TTC) pour une séance naissance ou pour une séance photo de famille lifestyle réalisée à domicile, ou dans le lieu de votre choix (déplacement sur Bruxelles inclus).
Le flash est un outil très puissant et créatif, malheureusement, il nuit trop à la spontanéité. J’ai fait un choix en travaillant essentiellement avec la lumière naturelle, celle du soleil, pour mes séances de famille. Ça implique des prises de vue entre le lever et le coucher du soleil.
En revanche, j’utilise un studio et des flashs professionnels pour certains événements ainsi que pour les séances de portraits corporate et LinkedIn. Les codes des portraits professionnels sont par nature plus stricts que les photos de famille et demandent un éclairage maitrisé, à toute heure du jour et quelle que soit la saison.
Une majorité de mes clients ne s’était jamais retrouvée devant l’objectif d’un photographe professionnel. Souvent, j’ai entendu « je ne suis pas photogénique, je suis toujours tendu quand on prend une photo de moi, comment comptez-vous faire? ».
Plusieurs années durant, j’ai fait des photos dans le secteur de la mode, avec face à moi des modèles professionnels qui savaient parfaitement prendre la pose et la tenir des heures durant. C’est leur métier. Ces modèles offraient ce que l’on attendait d’eux, mais en aucun cas ils ne se dévoilaient. Tous portaient un masque. Est-ce cela être photogénique ?
À mes yeux, la photogénie se mesure à notre capacité à être à l’aise au moment où le photographe appuie sur le déclencheur.
Nous pouvons tous y arriver!